1- Justice : La CAP déterminée à engager toutes actions légales afin d’obtenir la libération de Pape Alé NIANG
Clairement et sur la base du principe de responsabilité qui guide son action, la Coordination des Associations de Presse (CAP) n’épouse pas la pas la sortie du procureur et la trouve inopportune. Dans un communique, la CAP liste les incongruités et contrevérités de la «précision» du procureur de la république. Selon la coordinations,
« les maladresses de Pape Alé NIANG dans ses courts moments de liberté ne peuvent décemment autoriser le procureur de la République, Hamady Diouf à raconter des histoires sur notre confrère en prenant souvent des libertés avec la vérité ». Même s’il est vrai que son comportement peut indisposer et mettre mal à l’aise beaucoup de gens la corporation des journalistes reste déterminée à défendre les valeurs et principes du métier. Car, le journalisme et la justice ont en commun certains fondamentaux. Ce sont entre autres les faits. Ils sont intangibles. Toute action judiciaire, toute information doit reposer sur des faits. Or, dans son communiqué, le procureur lui prête des intentions et des allégations.
la CAP, se veut encore une fois responsable. Elle a froidement analysé la situation actuelle et usé du langage de vérité à l’endroit de notre confrère. Elle est dans cette logique depuis le début de cette affaire. Elle est déterminée à engager toutes actions légales afin d’obtenir la libération de Pape Alé NIANG, car, sa place n’est pas en prison.
2- Détournement sa « Une » : Le journal « Les Échos » annonce une plainte
Après les journaux L’Observateur, l’Enquête et bien d’autres journaux, voilà que le quotidien d’information « Les Échos » figure parmi les cible des esprits malveillants qui se donnent du plaisir à détourner les Une des journaux. Oui, ils sont bien des récidivistes en changeant la Une du journal Les Échos hier qui titrait sur l’affaire Sweet Beauté: « Comment Adji Sarr a piégé Mc Niass ». A la place, ils ont écrit : « Comment Mc Niass a piégé Adji Sarr ». Ce qui n’a pas été bien évidemment du goût du journal qui ne compte pas laisser cette affaire s’éclipser.
Le journal les Échos qui a saisi son avocat pour une plainte auprès du procureur de la république, ne compte aucunement laisser cette affaire sans suite, renseigne Dakaractu.
3- Crash de l’avion de Sénégal Air : L’audience renvoyée au 12 janvier prochain
Le procès de l’accident de l’avion de la compagnie aérienne Sénégal Air a été appelé ce jeudi 22 décembre 2022 devant la barre de la deuxième Chambre Correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Dakar. A cet effet, indique Dakaractu, l’audience a été renvoyée au 12 janvier prochain pour plaidoirie en audience spéciale.
Pour rappel, le 5 septembre 2015, un avion d’évacuation médicale transportant sept personnes s’est abîmé au large de Dakar. L’appareil avait à bord trois membres d’équipage, de nationalité algérienne et congolaise, deux infirmiers, un médecin et une patiente française. L’appareil d’évacuation médicale, affrété par Sos Médecins Dakar, effectuait une liaison entre le Burkina Faso et Dakar pour une urgence médicale. Ce jour-là, il a frôlé un appareil de ligne équato-guinéen, Ceiba, qui devant rallier Cotonou, mais qui a préféré continuer sur Malabo, après avoir tenté en vain d’entrer en liaison avec l’appareil sénégalais. Selon les résultats de l’enquête, le choc avait provoqué une avarie et une subite dépressurisation de l’appareil. Cet accident aura fait 7 morts.
4-Dieupeul : Un réseau de cryptomonnaie démantelée par la police
Les policiers du commissariat de Dieuppeul ont démantelé un réseau de cryptomonnaie détenu par un Togolais. D’après « Réwmi Quotidien », le cerveau du gang a été identifié sous le nom de S. A. Gnao, PDG de Crypto Investissement, une société spécialisée dans les placements dans la cryptomonnaie. Le montant volé est estimé à 700 millions de francs CFA dont 200 victimes ont été identifiées par les policiers. Comme modus opérandi, S. A. Gnao versait des bénéfices à ses clients pour mieux les appâter. Ce qui poussaient ces dernières à investir davantage. La Sûreté urbaine qui avait enquêté sur l’affaire, avait mis la main sur une collaboratrice du Togolais. Cette dernière avait été condamnée à une peine ferme de prison, rapporte le journal.
Yewwi Askan Wi explique son refus de voter le budget 2023
5- Budget 2023 : YAW a expliqué son refus de voter
Les députés de Yewwi n’ont pas voté ce budget pour ‘’bloquer’’ le fonctionnement de l’Etat du Sénégal, mais plutôt pour ‘’montrer au gouvernement qu’il y a des Sénégalais qui ne sont pas d’accord avec la manière dont ce pays est géré’’, a dit le député Abba Mbaye lors d’un point de presse, mercredi, en présence du président du groupe parlementaire Yewwi, Birame Souleye Diop, et d’autres députés. Abordant leur motion de censure qui a été rejetée, le président du groupe parlementaire Yewwi Askanwi, Birame Souleye Diop, a rappelé que dans la déclaration de politique générale (DPG) du Premier ministre, Amadou Ba, ‘’il n’a nullement été question de bonne gouvernance et de reddition des comptes’’. ‘’Le budget n’était pas sincère dans ses estimations et prévisions’’. Selon lui, ‘’quand il y a une crise, ce que l’on attend, c’est un changement, ce que l’on attend ce sont des reformes, ce que l’on attend, c’est un repositionnement’’. Et tout cela ne figurait nulle part dans le budget présenté par le gouvernement, a-t-il laissé entendre. ‘’Et comme nous doutons de la croissance et des chiffres qui nous sont donnés, a-t-il estimé, la posture la plus responsable pour Yewwi Askanwi (…) c’est de dire que l’on vote contre ce budget’’.
La Rédacton de SenCaféActu
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