– Magal de Touba 2020 : Les grandes décisions du khalife Serigne Mountakha dévoilées : 5 millions de masques, annulation de la cérémonie officielle, et de la caravane, conférences via internet
Le porte-parole du khalife a dévoilé, hier, les recommandations du marabout pour l’édition 2020 du Magal. Serigne Bass Abdou Khadre recommande aux bonnes volontés de mettre à la disposition des pèlerins 5 millions de masques non sans préciser que certaines ont déjà commencé à en acheter.
Le porte-parole a aussi annoncé que les séries de conférences seront faites via internet et la très attendue cérémonie officielle et la caravane du Grand Magal n’auront finalement pas lieu, cette année.
– Gestion des inondations : Ousmane Sonko et ses partisans exigent « un dispositif urgent pour éviter « une mafia du pompage » et un audit technique et financier du plan de lutte contre les inondations »
«Nous exigeons la mise en place immédiate d’un dispositif de contrôle indépendant, participatif et rigoureux pour éviter tout détournement de fonds ou de matériel par une ‘’mafia du pompage’’ qui profite de la situation pour s’enrichir impunément. Le caractère urgent et catastrophique des situations d’inondation ne doit plus être un alibi aux pratiques de corruption », avertit la coalition de Sonko.
Jotna demande aussi des comptes : « Nous réclamons un audit technique et financier au vu de l’aggravation de la situation par la fréquence des sinistres, le nombre des impactés et la gravité des conséquences », lit-on dans leur déclaration.
– Gestion des inondations : Voici les décisions de Macky Sall
- Un budget d’urgence de 10 milliards débloqués :
- Pour un cash transfert de 3 milliards directement versés aux familles sinistrés pour l’achat de mobilier et de vivres.
- Et les 7 milliards mis à la disposition des sapeurs-pompiers et de l’Onas pour l’achat d’équipements.
- Le Président va effectuer une descente sur le terrain en banlieue pour constater de visu les dégâts causés par les inondations.
- Les ministres, directeurs généraux et les maires invités à descendre sur le terrain pour assister et soutenir les populations.
– Bac : 15 candidats, déclarés admis, déférés au parquet de Tambacounda pour fraude.
Le groupe est composé de 2 filles et de 13 garçons du jury 1203 de Goudiry. Tout est parti d’une fille prise en flagrant délit de triche consultant des corrigés d’épreuves sur WhatsApp. Après avoir mis la main sur la fille, les autorités scolaires ont fait arrêter toute la bande de 14 autres qui ont été présentés au procureur de Tambacounda. Ils ont été mis sous mandat de dépôt hier.
– Traquée depuis 9 ans par les médias et des publicistes du monde entier, Nafissatou Diallo parle pour la 1èrefois en exclusivité.
Poursuivie entre New- York, Dakar et Conakry, Nafissatou Diallo a décidé de se livrer dans un entretien exclusif et dans un livre. Sa confession, dans une méga-église de Brooklyn, est historique. Pour Paris Match, Nafissatou Diallo revient sur le scandale qui a sidéré le monde et changé le cours de l’élection de 2012 : l’agression sexuelle dont elle dit et maintient avoir été victime de la part de Dominique Strauss-Kahn, alors directeur général du Fonds monétaire international et favori pour la présidentielle. Une affaire classée, que l’ex-employée d’origine guinéenne veut exorciser dans un prochain livre. C’est le journaliste Olivier O’Mahony qui a eu le jackpot !
– Gestion des inondations : Aly Ngouille prêt à être auditionné
Le ministre de l’Intérieur, invité de Soir d’Infos de la TFM, a annoncé qu’il était disposé à être auditionné par les députés sur la gestion du plan Orsec dont il est le principal maitre d’œuvre. Pour rappel, le PDS avait demandé, mardi dernier, la mise en place d’une commission d’enquête au niveau de l’Assemblée nationale pour auditer le plan décennal de lutte contre les inondations lancé en 2012.
– La révélation de l’ancien président mauritanien : Mohamed Ould Abdel Aziz « certains de mes amis chefs d’Etat m’ont demandé, ont insisté pour que je fasse le troisième mandat, mais j’ai refusé »
« J’avais la possibilité de faire un coup d’Etat constitutionnel avec mes 102 députés. Je l’ai refusé. Je n’ai jamais voulu faire un troisième mandat. Donc pourquoi ferai-je un coup d’État alors que j’avais la possibilité juridique de changer la constitution avec l’appui de plus de 102 députés », a-t-il confié à France24. Les « tracasseries » qu’il dit subir depuis son départ du pouvoir lui font il regretter sa décision de s’en aller au bout de deux mandats ? « Non je ne considère pas que j’ai fait une erreur. J’ai agi en âme et en conscience. Je suis tranquille moralement et physiquement. Je ne regrette rien malgré que certains de mes amis chefs d’Etat m’ont demandé, ont insisté pour que je fasse le troisième, mais j’ai refusé. J’ai tenu à incruster la démocratie », a conclu Aziz.
– Projet Akon City : Le Forum civil demande des comptes au ministre du tourisme et au DG de la Sapco (Documents)
La rédaction
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